Plus de 16 millions de visiteurs
mensuels, un trafic en perpétuel progression ( + 50% mensuel ), et
surtout une renommée qui s'installe et qui va faire de Pinterest la
nouvelle plateforme indispensable des internautes avertis, et le
nouveau sujet de prédilection des experts d'agences et autres
"consultants Social Media"
Le service est relativement simple. Créé en 2010 mais
véritablement populaire depuis mai 2011, Pinterest incarne une
version virtuelle du tableau de liège où l'on punaise des photos.
Sauf qu'ici, on est sur le Web : on peut donc épingler ("pin")
sur son tableau ("board") des photos, des vidéos, les
classer dans différentes catégories, et consommer tout ce contenu
de manière sociale, en marquant son intérêt pour une photo ou une
vidéo ("like"), voire en la repostant ("repin")
pour en faire profiter sa propre communauté.
Comme sur Twitter, un utilisateur du service peut ainsi en suivre
un autre, ou suivre une catégorie particulière parmi toutes celles
proposées par tel ou tel utilisateur. Comme c'est désormais
l'usage, Pinterest s'appuie sur Twitter et Facebook pour retrouver
facilement vos amis et importer vos contacts sur le service.
Pinterest reste un véritable
outil de "curation", un moyen simple et pratique
d'organiser du contenu pioché ici ou là sur le Web.
Depuis de nombreuses années, différents chercheurs et plus particulièrement le chercheur Sébastian Thrun, ont essayés d’inventer un nouveau concept « la voiture sans pilote »,en partenariat avec le géant du moteur de recherche Google.
La création d’un projet aussi aventureux et futuriste est apparue peu après un accident de voiture où certains proches du chercheur ont trouvés la mort.
Ces nouveaux véhicules seront des voitures pilotées par un ordinateur et pourront rouler en ville.
Les seules obligations légales pour l’utilisation de ces voitures futuristes est la mise en place d’une plaque d’immatriculation un peu spéciale, de couleur rouge, afin de prévenir les autorités et les différents automobilistes du caractère un peu particulier de ces véhicules.
De plus, tous ces véhicules devront être assurés à hauteur minimum d'un million de dollars en cas d’accident ou de problème technique !
Pour le chercheur Thrun, ces véhicules constituent la nouvelle génération automobile qui seront dans quelques années commercialisée dans le monde entier. La voiture sans pilote est la solution ultime aux décès grâce à différents systèmes informatiques intégrés qui permettrons d’éviter des accidents liés à la fatigue ou à la déconcentration.
Sur CosmopoliTech nous ne
sommes pas avare d’innovation technologique au niveau automobile comme
notamment la Hiriko ou encore l’hydromobile.
Cette fois-ci nous nous
sommes intéressé à un nouveau système d’aide à la conduite, qui consiste à remplacer
l’écran de nos GPS traditionnels par des vibrations dans le volant !
Il est vrai que les sources
de distractions à l’intérieur des voitures ne font qu’augmenter, et c’est pour remédier
à ce problème, source de nombreux accidents, que AT&T Labs, qui est la
division Recherche et Développement de
l’opérateur américain, à concrétiser ce concept.
« Le
prototype est équipé de 20 actionneurs vibrants, tous indépendants les uns des
autres. Du coup, lorsque le conducteur doit tourner à gauche par exemple, il
sentira des vibrations dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Au
contraire, quand il devra aller à droite, les vibrations iront dans le sens des
aiguilles d’une montre. »
Le
but ultime est d’aider l’automobiliste à rester concentré sur la route et
réduire le risque de distraction par la voie ou par l’écran du GPS. Cette
technologie permet également d’informer l’utilisateur sur la présence d’une
voiture dans un angle mort ou du non respect des distances de sécurité.
Cependant
ce nouveau système présente un certain nombre d’inconvénients, comme le fait
que pour être totalement efficace ce
système exige que le conducteur garde les deux mains en permanence sur le
volant. D’autre part il se pose la question des moyens pour prévenir l’automobiliste
à l’avance qu’il doit effectuer un virage. Autant de questions qui restent pour
l’instant sans réponse mais nous ne manquerons pas de vous informer dès que l’on
en saura plus.
Grâce au web 2.0, l'internaute est un réel acteur du contenu web. Cosmopolitech vous propose aujourd'hui de participer au débat politique en faisant parler votre talent. Mais comment?
En créant votre vidéo sur www.polpot.fr. Le principe est simple, laissez vous guider par les instructions et partager votre vidéo sur tous les réseaux sociaux (page facebook).
Polpot exterminait ceux qui pensaient et contestaient... Polpot 2.0 rend la parole au peuple!!!
Engager le citoyen dans le débat politique est la volonté du créateur de ce site. C'est le PREMIER guignol interactif. Voici un pas de plus vers une société participative.
Depuis de nombreuses années les chercheurs développent
des nouvelles technologies pour augmenter l'espérance de vie et anticiper au mieux les maladies mortelles.
Aujourd’hui un groupe de chercheur se son réunies autour
d’un forum économique mondial basées à Davos en Suisse
(dans la patrie de Roche), pour dévoiler la création d’une machine qui permet de décrypter le génome
humain en quelques heures : « le Ion Proton Sequencer ».
Propulsé par la technologie de puce semi-conductrice ™
Ion Torrent, ce séquenceur de protons de l'Ion ™ est le premier séquenceur de
génération sur table créer pour permettre de séquencer l’équivalent d’un génome
humain et le séquençage de 2 exomes humains de façon très rapide. Cette technologie sera disponible dans les
laboratoires à partir d’une somme soutenable de 1000 $ ou 1200 € pour une durée
de 2 heures.
Ces avancées technologique laisse entrevoir
une accélération des recherches biomédicales mais va aussi permettre aux
différents malades de ne plus d'attendre des
semaines pour savoir s'ils sont atteints, par exemple, d’un cancer ou autres
maladies.
Beaucoup ont cru à une blague, lorsque
BBH New York, une agence de création, a annoncé le projet Homeless
Hotspots à l’occasion de la conférence South By SouthWest
Interactive . Et pourtant, cette « initiative de charité
innovante » selon BBH, est bien réelle : elle a
consisté à employer des SDF comme hot spots 4G disséminés
dans Austin, à la disposition des conférenciers en mal de
connexion…
Chaque SDF participant portait un
T-shirt personnalisé. Sur celui de Clarence (vidéo
ci-dessous) on pouvait lire « Je suis Clarence,
un hot spot 4G. Envoyez HH Clarence au 25827 par SMS pour
avoir accès ». Sur le site du projet, on peut voir,
sur Google Maps, la position de chaque sans-abri.
Avec un cynisme incroyable, BBH décrit
ainsi son projet : « Cette année à Austin, alors
que vous vous déplacerez en vous plaignant de la mauvaise connexion
et que vous ne pourrez pas télécharger/streamer/tweeter/utiliser
Instagram/faire uncheck-in, vous tomberez sur des individus
positionnés de façon stratégique portant des tee-shirts “hot
spot sans-abri”. Ce sont des SDF […] qui portent des
appareils MiFi. Présentez-vous, puis connectez-vous à leur
réseau 4G avec votre tablette ou votre téléphone pour une
connexion rapide et de qualité. »
Le prix conseillé : deux dollars
pour quinze minutes de connexion, même si le tarif est libre.
La somme est intégralement transmise au sans-abri dans un second
temps, après un passage par Paypal. « Nous pensons que
fournir un service numérique permettra à ces gens de gagner plus
d’argent que s’ils vendaient des journaux. »
En proposant ce service, BBH estime en
effet qu’il modernise une activité déjà pratiquée par les
sans-abri de nos jours : la vente de journaux
(comme L’Itinérant en France par exemple). « Un
modèle qui a prouvé son succès mais qui a un problème :
comme toutes les publications imprimées, ces journaux subissent la
menace de la prolifération des médias numériques. »
Que l’on se rassure cependant :
une majorité d’Américains et de nombreux conférenciers ont été
scandalisés comme nous par Homeless Hotspots. A tel point que
BBH a été obligé de s’expliquer pour rappeler qu’elle ne se
faisait pas d’argent sur cette opération – encore heureux,
serait-on tenté de dire – et que ce test (en fait, une bêta
d’un programme que l’entreprise voudrait plus large) n’a duré
que quinze jours. Il n’en demeure pas moins que cette firme a
clairement souhaité créer le buzz à l’occasion du South By SouthWest Interactive pour se faire connaître. C’est réussi. Mais pas forcément comme
les drôles de créatifs de cette agence l’entendaient.
Lancé depuis vendredi dernier la troisième génération de la
tablette tactile d’Apple est promise à un bel avenir commercial. Même si les
signes extérieurs, tels que la queue devant les Apple store étaient moins
visibles que pour les versions précédentes d’autres signes prouvent que la
tablette devrait connaître au moins le même succès que les précédentes
générations.
Les analystes américains
ont suivi de très prêt cette période et ils ont estimé que le record du
lancement de l’iPad 2 serait battu par son successeur d’autant plus que la
tablette a été lancée sur 10 marchés d’un coup au lieu des Etats-Unis
seulement.
« Apple ne fournit pas
toujours de chiffres sur le lancement de ses produits mobiles et pour le
moment, aucun communiqué n'est venu clamer un record de ventes. Tim Cook, CEO
d'Apple, a cependant confirmé que le nouvel iPad avait connu un week-end record, à l'occasion de la
conférence donnée pour dévoiler sa politique de versement de dividendes et
de rachat d'actions. »
AT&T, plus grand fournisseur de
services téléphoniques et de services sans fil des Etats-Unis, annonce
d’ailleurs avoir établi un nouveau record de ventes et de lignes activées pour
l’iPad ce vendredi.
En bourse le titre Apple progresse de 1,2% à 593,4 dollars.
A l'occasion de la fête de l'internet, la Commission de l'Internet et des Libertés (CNIL) lance une campagne web de sensibilisation concernant le partage sur la toile de la vie privée des utilisateurs.
"Réfléchissez avant de cliquer"... Avec près de 25 000 000 d'inscrits sur Facebook, le respect de la vie privée des utilisateurs est une problématique I N E V I T A B L E!
Communiquer de manière responsable, visualiser le danger du partage de photos, d'informations privées...voilà ce en quoi la CNIL lutte depuis plusieurs années.
En effet, une augmentation de 42% des plaintes déposées à la CNIL par rapport à 2010 concernant des problèmes d'oppositions à la diffusion de contenus. Une hausse corrélée avec une augmentation croissante de l'utilisation des réseaux sociaux.
Internet est un réel danger pour celui qui ne maîtrise le contenu qu'il partage..
La CNIL a donc fait appel à l'agence de communication EURO RSCG C&O afin de produire une vidéo interactive. "Share the party" est l'histoire -plutôt commune- d'un adolescent qui participe à une soirée. Il filme en temps réel son déroulement et peut (ou non) partager celle ci sur les réseaux sociaux.
Ainsi, 11 fins différentes sont possibles.. à vous de décider laquelle est la plus responsable...
Vous pouvez aussi partager cette video sur Facebook (ou pas)... et liker la page officielle de la CNIL.
Ffffound, Jjjjound, TheFancy, Butdoesitfloat... sont devenus des rendez-vous quotidiens pour des millions d'internautes. Le principe? Faire du "curating" parmi le flux boulimique d'images, de vidéos, de liens et de produits qui circulent sur internet. Ces sites se posent en éclaireurs 2.0, séparant le bon grain de l'ivraie, remettant ensuite les contenus en circulation pour téléchargement, évaluation et surtout rediffusion sur blogs, sites ou réseaux sociaux.
Créé en 2007 par le Montréalais Justin R. Saunders, Jjjjound.com présente des images sans texte ni commantaire ni source, créant un infini "mood board" devenu référence en matière de bon goût. Sa motivation première: partager ses sources d'inspiration en tant que graphiste et designer.
Le règne du curator numérique préfère l'image au texte, l'abondance à l'unicité, la recommandation à la créatin pure. A quoi cela va-t-il donner naissance? Un mécanisme de tri collectif qui affine les algorithmes de recherche de Google, ou l'émergence d'une sorte de conscience créative, à l'instar du mouvement suédois du Kopinisme ( pour lequel le "partage et la copie d'information est le sacrement" )? A l'heure actuelle, en tout cas on ne peut que constater l'inquiétante puissance du "curating" en flux tendu qui, en bon opium 2.0, troque l'indivualisme contre un certain narcissisme de masse.
Ces dernières
années de nombreuses personnes ont perdues la vie assis derrière le volant d’une
moto ou d’un vélo. Et depuis la naissance et la création de l’airbag, seuls les conducteurs des voitures avaient le droit à la protection dernier-cri.
Aujourd’hui c’est
au tour des deux roues de bénéficier de cette protection, grâce à deux
designers suédoises, Terese Alstin et Anna Haupt, qui ont conçu un collier de tissus qui renferme un casque
gonflable à la façon d’un airbag.
Le principe
est le suivant : des accéléromètres contenus dans la colerette détectent les
mouvements suspects. En cas d’imminence d’un choc, une mini-bonbonne d’hélium
gonfle le casque en moins d’un dixième de seconde. Et la tête du cycliste est
protégée en cas de chute (mais pas en cas de choc direct à la tête, cependant).
Six ans de travail ont été nécessaires pour faire homologuer le produit, qui
devrait être commercialisé prochainement à un prix avoisinant les 40 euros.
De plus les
chercheurs de l'Institut de Recherche de Saragosse ont développer un nouveaux
casques de motos équiper d’un airbag, qui permet de protéger le dos jusqu'à la septième vertèbre, en réduisant les
risques de lésions graves et ce dès le premier impact
Ce nouveaux casque
qui sera équiper d’un airbag se gonflera au moyen d'un gaz inerte (hélium) au
moindre impact plus ou moins fort. L'airbag se veut plus sûr et se déclenche en
moins de temps qu'il ne faut pour que se produise le "coup du lapin"
(soit 20 centièmes de seconde à 25 km/h).
Ces différentes
innovations technologiques vont permettre de changer beaucoup de vies et
permettre de diminuer le nombre de décès
sur les routes.
Pour vous Cosmopolitech s'est penché sur un sujet qui fait débat parmi les acteurs de la nouvelle techno.
Faut-il être pour ou contre le traité ACTA d'ores et déjà signé par l’Europe ?
Avant de voter lisez cet article !
Anonymous et les verts ont une position très claire : ACTA est antidémocratique et n'est pas en accord avec les Droits de l'Homme. Je vous invite à juger par vous même leurs arguments à travers les deux vidéos qui suivent...
Mais vu que c'est un débat il y a forcément les défenseurs du traité. Nous prendrons dans ce rôle Karel de Gucht qui est commissaire européen chargé du commerce interviewé par le NouvelObs le premier mars dernier.
"Ce qu'est effectivement l'ACTA
La présente démarche vise à ramener un peu de bon sens dans le débat sur l’ACTA, qui est en train d’échapper à tout contrôle, à la fois dans le monde virtuel et dans le monde politique.
Les raisons qui font que le débat est si vif sont parfaitement justifiées. En fait, je suis moi-même un défenseur de l’Internet en tant qu’espace de liberté et j’accueille favorablement toute action publique de sensibilisation aux menaces potentielles qui pèsent sur cet outil.
Mais le fait est que l’ACTA n’a pas grand-chose à voir avec nombre de ces supposées menaces. Certaines des actions entreprises, telles que les cyber-attaques contre des sites parlementaires en ligne, se trompent de cible. D’autres allégations sont tout simplement hors sujet.
En dépit de ce que vous avez peut-être lu ou entendu, l’ACTA n’introduira pas de censure sur internet. Il ne donnera lieu à aucune surveillance de courriels ou de blogs individuels. Il ne sous-traitera pas de fonctions de police à des prestataires privés de services en ligne. Il ne restreindra pas les ventes de médicaments génériques légaux. Il ne permettra pas à des agents des douanes d’inspecter des ordinateurs portables ou des lecteurs MP3.
Il m’est difficile d’être plus clair, mais à mon sens, cet accord ne porte aucunement atteinte – d’un point de vue législatif – aux droits et libertés fondamentaux garantis par les traités européens.
Défendre la propriété intellectuelle
Cela étant, l’objet de l’accord mérite bien d’être débattu, car il s’agit de s’interroger sur le rôle de la propriété intellectuelle dans notre société et notre économie.
L’ACTA n’est ni plus ni moins qu’un accord créant des normes internationales pour 13 parties, l’objectif étant de mettre en œuvre les droits de propriété intellectuelle selon des modalités qui sont déjà consacrées par le droit européen en vigueur.
Au fil des ans, nous avons construit un système global de protection de la propriété intellectuelle en Europe - la seule matière première dont nous disposions, pour reprendre le cliché bien connu. Nous avons défini les droits qui peuvent être protégés et les moyens d’y parvenir. Nous avons également prévu des mesures de sauvegarde, garantissant les droits des citoyens en matière de libre expression et de libre accès à l’information et à la protection des données, de même que les droits des prestataires de services et des intermédiaires qui commercialisent des biens bénéficiant d’une protection.
L’ACTA permet d’étendre les avantages de ce système au-delà de nos frontières. Il marque une étape mineure, mais significative, vers l’éradication de l’industrie mondiale du piratage et de la contrefaçon - une industrie dont le poids est estimé à environ 250 milliards de dollars par an.
L’ACTA est un traité de mise en œuvre. Il ne cherche pas à entrer dans le détail des droits qui peuvent exister, ou à déterminer les limites de la légalité ou de l’illégalité, mais porte sur les procédures qui permettent de protéger ces droits. Il englobe la mise en œuvre sur le plan civil et pénal, ainsi qu’aux frontières, pose les principes élémentaires à respecter pour mettre en œuvre les droits de propriété intellectuelle sur l'Internet et définit des modalités de coopération internationale.
Et l’une des grandes réussites de l’Union européenne dans cette négociation a été de s’assurer que l’ACTA soit étroitement inspiré du système européen. D’ailleurs, plusieurs États membres ont déjà fait savoir que l’entrée en vigueur de l’ACTA ne les obligerait pas à modifier leur législation. N’est-ce pas là ce que les citoyens attendent généralement de toute politique européenne: procéder à un nivellement des normes par le haut, puis les mettre en œuvre et les exporter au niveau international ?
C’est certainement ainsi que les entreprises européennes voient cet accord. En effet, elles n’ont pas mis longtemps avant de signaler que les procédures prévues par l’ACTA pour traiter les infractions aux droits de la propriété intellectuelle s’appliqueraient dans un groupe de pays représentant 50 % du commerce mondial, ce qui aura des répercussions positives sur leur croissance et leur rentabilité, ainsi que sur les emplois qu’elles créent.
De la nécessité de distinguer les faits des rumeurs
Tout cela devrait être parfaitement clair pour quiconque prend le soin de lire le texte de l’accord.
À titre personnel, permettez-moi toutefois d’ajouter ceci : je suis juriste de formation, libéral-démocrate par conviction et depuis toujours militant des droits de l’Homme et des libertés individuelles. À l’époque où j’étais encore jeune député européen, j’ai participé à l’élaboration du rapport Spinelli, en rédigeant le premier projet de catalogue des droits de l’homme, sur lequel s’est basé le Parlement européen en 1989 pour élaborer sa Déclaration des droits et libertés fondamentaux. C’est sur ce socle que repose la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, qui a force de loi depuis le Traité de Lisbonne.
Je n’aurais donc pas pu m’associer à la négociation d’un accord susceptible de porter fondamentalement atteinte à une partie de ces droits.
En tout état de cause, cela m’aurait d’ailleurs été impossible, car j’ai toujours abordé le processus de négociation comme une démarche ouverte et intégrative. Les États membres de l’UE ont participé aux négociations de l’ACTA et ont été tenus informés tout au long du processus. Nous avons travaillé en tandem avec le Parlement européen et c’est pour cette raison que la Commission a pu appeler les partenaires de l’ACTA à rendre public les projets de textes de négociation d’avril 2010, sur lesquels ils étaient d’accord.
La version intégrale et finale de l’accord est maintenant disponible depuis plus d’un an. Il appartient désormais aux États membres et au Parlement européen de statuer. L’avis que va rendre la Cour de justice européenne permettra, j’en suis convaincu, de les aiguiller dans la bonne direction.
Pour assurer le bon déroulement du processus démocratique, il nous faut d’abord faire la part des choses, en distinguant les faits de ce qui relève de la peur et du "on-dit", et ne pas manquer cette occasion de franchir un palier supplémentaire dans la protection globale des droits de propriété intellectuelle."
C'est pour que vous puissiez vous faire votre propre opinion que je ne me suis volontairement pas mouillé dans le débat. Je vous invite cependant à lire les commentaires laissé sur l'article du NouvelObs et si vous en avez le courage allez lire le traité, l'original. (cf. sources).
Documentaire choc demain soir en deuxième partie de soirée (mercredi 14 mars) sur Canal + "Traqués, enquête inédite sur les vendeurs d'armes numériques".
Paul Moreira a voulu mettre en évidence "ces armes" d'un nouveau genre et le business connexe qui s'y construit. Pour lui, le roman de George Orwell est devenu réalité "Big Brother is watching you".
En période de campagne présidentielle, cette diffusion arrive à point nommé (ou pas). On y apprend entre autre que la France aurait vendu des outils numériques au gouvernement de Khadafi servant à espionner et maitriser une partie des flux web. Et donc dans le même temps de bafouer les Droits de l'Homme.
L'occident qui vend des armes aux dictateurs sous le manteau tout en leur faisant la guerre face caméra on connait déjà. Mais cette guerre numérique beaucoup moins. Elle est nouvelle et peu de personnes en ont réellement connaissance et conscience.
Paul Moreira essaie de nous sensibiliser et de montrer que les entreprises produisant des outils d'espionnages sont des entreprises avant tout et que leur seul et unique intérêt est de faire du bénéfice.
Une guerre d'un nouveau genre est née, une guerre virtuelle permettant de contrôler, surveiller, maîtriser et effacer tous types d'informations... Cette guerre est plus subtile et plus dangereuse. ON NE LA VOIT PAS....
Ce lundi 12 mars, Reporter Sans Frontière a publié son
traditionnel classement des pays ennemis d’Internet.
En 2012 le Bahreïn et la Biélorussie se sont joints à
l’Arabie Saoudite, la Birmanie, la Chine, la Corée du Nord, Cuba, l’Iran,
l’Ouzbékistan, la Syrie, au Turkménistan et au Vietnam dans la liste des pays considérés comme des ennemis d'internet.
« Ils
conjuguent souvent problème d'accès, filtrage sévère, traque des
cyberdissidents et propagande en ligne », concède RSF. La Lybie disparaît de la liste des pays
placés sous surveillance et la raison du maintient de la France qu’« elle poursuit sa
politique de lutte contre le téléchargement illégal via la riposte
graduée, et le recours à un filtrage administratif du Web se banalise» .
Hormis la France les autres pays dits sous surveillance
sont : l’Australie, la Corée du Sud, l’Egypte, les Emirats Arabes Unis,
l’Inde, le Kazakhstan, la Malaisie, la Russie, le Sri Lanka, la Thaïlande, la
Tunisie et la Turquie.
RSF considère en outre que la loi Hadopi va à l’encontre des
libertés fondamentales, en effet Hadopi se permet de couper l’accès à internet
des fraudeurs (avec néanmoins une échelle des sanctions) alors que de nos jours
coupure d’internet rime souvent avec coupure du téléphone fixe et des chaines
de télévision.
« Les net-citoyens ont
été, en 2011, au cœur des changements politiques qui ont affecté le monde
arabe. Ils ont tenté, aux côtés de journalistes, de tenir la censure en échec
mais en ont, en contrepartie, payé le prix fort ».
Le constructeur automobile allemand
« Audi » vient de nous dévoiler et de nous présenter les détails de
sept nouvelles technologies dont certaines sont encore au début de leur
développement mais qui, selon le constructeur, devraient bientôt changer la vie
des utilisateurs de voitures ainsi que notre façon de conduire.
Lors du salon high-tech CeBIT,
Audi ouvrira la journée de l'automobile, le 8 mars, avec une présentation des
technologies actuelles avant de donner sa vision sur les nouvelles technologies
du futur liées à la mobilité des voitures et des conducteurs.
En attendant, le constructeur allemand
a dévoilé sur AutoBlog, une série d'avancées sur lesquelles il travaille. L’une
des principales innovations technologiques que propose Audi est le chargement sans fil des voitures Audi.
Ce système permettra aux voitures
électriques du futur de commencer à se recharger automatiquement lorsqu'elles
seront garées à un certain endroit. Audi n'est pas le seul constructeur à travailler
là-dessus – Toyota testerait une technologie similaire en partenariat avec le
géant informatique « Google ».
Par ailleurs le constructeur
automobile allemand se concentre sur l’allègement de ses véhicules grâce à
l'utilisation intensive de l'aluminium et de la fibre de carbone composite et
continue à avancer dans le domaine des véhicules électriques dans le cadre de son
programme e-tron.
Audi a également inventé et mis en place un système de pilotage
automatique pour trouver une place de parking. Rouler dans des parkings
à plusieurs niveaux à la recherche d'une place libre pourrait bientôt faire
partie du passé grâce à cette technologie qui permet aux conducteurs de se
reposer pendant que leur voiture se dirige toute seule vers un emplacement
libre.
Et encore bien d’autres avancées technologiques plus incroyables les unes
que les autres qui permettront de changer les mœurs ainsi que le comportement
des individus.
Parce que notre consommation change en même temps que les nouvelles technologies apparaissent, Cosmopolitech a décidé de vous présenter la nouvelle série web "HUIT" d'Arnaud Legoff.
Disponible sur Dailymotion demain Jeudi 8 mars, la nouvelle série web "Huit" se divise en huit épisodes (comme son nom l'indique!)... Huit personnages autour d'un corps sans vie. Cette femme morte attendait comme eux dans la salle d'attente pour un entretien...que c'est-il passé? Vont-ils subir le même sort?
Voici le synopsis d'un triller alléchant.... ATTENTION CERTAINES IMAGES PEUVENT CHOQUER LA SENSIBILITÉ DES PLUS JEUNES....
A l'heure du tout 2.0, la consommation de séries change et évolue énormément. En effet, de nombreuses séries ont lancé en exclusivité des épisodes sur le web avant leurs diffusions télévisés...
Cosmopolitech est ravi de savoir que les créations ne sont pas uniquement faites pour le grand ou le petit écran mais aussi pour le WEB!
On attend avec impatience d'autres créations du même genre...
En attendant le lancement demain de la série, portez vous bien...
Depuis ce matin, le Grand, l'inimitable Facebook est inaccessible! Un phénomène constaté sur l'autre réseau social Twitter.
La panne touche une grande partie du globe entre autre l'Allemagne, les Pays Bas, la République Tchèque, l'Afrique du Sud, la France...
Pour la première fois depuis sa création, Facebook fait l'objet d'un arrêt complet! "Toute, toute, toute première panne...toute, toute, toute première panne" comme dirait la chanson...
Celle ci est apparue dans la matinée aux alentours de 7h20 (heure française)... D'après les tweets, la version mobile est restée accessible après la panne de la version web mais a subi un arrêt juste après...
9h39- Facebook refait apparition!
La grande question? D'où vient cette panne? Un problème dans les systèmes? Un arrêt volontaire pour permettre une mise à jours ou une refonte? Un buzz pour faire parler?
Il évident que les utilisateurs attendent des explications... et Cosmopolitech aussi!!!!
Explication:Facebook a publié un communiqué concernant la panne de ce matin:
"Aujourd'hui, Facebook a rencontré des difficultés techniques,
empêchant certains utilisateurs européens à se connecter sur la
plateforme. Ces problèmes sont désormais résolus et l'accès à Facebook
est rétabli. Facebook s'excuse de ce contretemps et invite les millions
d'utilisateurs à reprendre leur activité habituelle sur la plateforme."
Problèmes techniques? Cosmopolitech commençait à se demander s'il n'y avait pas du personnel en grève chez Facebook! Vous imaginez la pression que peuvent mettre les responsables techniques en ne venant pas travailler...
A l’instar de
Facebook, Twitter a décidé de faire fructifier sa base de données en vendant tous
les messages postés par ses utilisateurs depuis deux ans à Datasift et à Gnip Inc. .
Sociétés qui vont par la suite vendre ses données à leurs clients dans le but
d’améliorer leur marketing.
300 millions d’utilisateurs pour 250 millions de tweets par
jour, Twitter représente donc un vivier important d’information pour toute
entreprise qui veut contrôler son image sur la toile, pour ensuite lancer des
campagnes marketing qui soient plus ciblées.
« DataSift
va plus loin. Il proposera à ses clients pas moins de deux ans d’activité. Une
base incroyablement riche de données personnelles qu’on confie pourtant à
Twitter et au monde sans trop s’en soucier. Sous forme de packages, qui
regrouperont des tweets sur des sujets bien spécifiques, et même selon des
zones géographiques précises, ces informations seront donc vendues. Rob Bailey,
PDG de DataSift, déclarait ainsi à Reuters que « 700 sociétés
sont sur une liste d’attente pour utiliser cette offre ». »
Les seuls moyens d’échapper à ce contrôle sont d’une part
d’effacer ses tweets et d’autre part de régler au plus strict les paramètres de
vie privée.
"Si vous ne payez pas pour un service, vous n’êtes pas le client,
vous êtes le produit qui est vendu".
Sugar (Subsonic
Ultra Green Aircraft Research) et Double Bubble sont les noms
des concepts d’avions de ligne dévoilés par Boeing et la Nasa en
collaboration avec le MIT. Deux projets récemment dévoilés après plus de 2 années de recherche, qui permettraient de réduire jusqu'à 70% la consommation d'énergie dans le transport aérien!
Combinant batteries, moteurs
à hélices électriques et une turbine à gaz, le Sugar se
doterait d’une voilure très allongée qui permettrait à la fois
d’augmenter la portance et de diminuer la distance de décollage. Cet
avion ligne pour 154 passagers volerait à Mach 0,8 sur
6500 km et pourraient réduire sa consommation de carburant de
70% et sa consommation totale d’énergie de 55%. et ainsi
réduire à la fois la pollution et les nuisances sonores. De quoi faire
revenir les habitants dans les villas désertées autour des
aéroports. Il ne s’agit
encore que d’un avion sur papier, mais qui préfigure les avions de
ligne envisagés à l’horizon du quart de siècle.
Avec
le projet appelé « Double Bubble », les chercheurs du MIT
auraient inventé un avion dont la consommation en carburant serait
inférieure de 70 % à celle d’un avion classique et qui, en vol,
rejetterait environ 3 fois moins d’agents polluants.
L’avion
écologique Double Bubble est destiné à remplacer le Boeing 737
dans le futur. Comparées à ce dernier, les ailes du nouvel engin
possèdent une plus grande envergure en longueur et en largeur afin
d’augmenter la portance de l’appareil et diminuer sa dépense en
énergie. Dans la même logique, sa vitesse serait également de 10 %
inférieure à celle du Boeing 737 pour satisfaire les 70 % de
réduction de consommation de carburant.
Toutefois,
il faudra encore attendre un certain temps avant de voir ce prototype
écologique investir le trafic aérien. Car Double Bubble est un
avion de rang N+3, c’est-à-dire sensé appartenir à la 3e
génération après les avions d’aujourd’hui.