lundi 30 janvier 2012

Hiriko : La première voiture électrique et pliable

De creation Basque Hiriko est la première citadine électrique pliable. Elle a en effet la particularité de pouvoir ajuster ses dimensions quand vient le moment de se garer : la partie avant de la voiture vient chevaucher l'arrière du véhicule grâce à un ingénieux système de "pliage", pour quasiment réduire de moitié la longueur du véhicule, qui n'occupe plus alors que 1,5 mètres sur la chaussée.
Biplace, le pare-brise coulisse comme le cockpit d'un avion de tourisme, de quoi faciliter la montée et la descente. Sa batterie électrique a une autonomie de 120 kilomètres en ville et sa vitesse est électroniquement bridée en fonction des limitations en vigueur.


D'autre part il faut noter que le moteur de Hiriko a été placé dans ses roues et qu'elles sont indépendantes entres elles, ce qui lui permet de faire des tours sur elle-même, très pratique pour manoeuvrer à l'arrêt.

D'après M. Gorka Espiau, le représentant des créateurs, elle sera disponible à la location en ville ou à l'achat à partir de 12.500 € avec une batterie à louer.

A l’heure où dans une ville comme Paris le temps moyen pour trouver une place de stationnement est de 30 min Hiriko s’inscrit pleinement dans l’air du temps.

Source : 

RBA

vendredi 27 janvier 2012

Les Pirates boxent le FBI

Sur le net nous sommes suivi ! Tous nos faits et gestes sont enregistrés pour mieux nous vendre ce que nous ne voulions pas acheter ou pire encore, pour nous punir d'avoir succombé à l'intrigue d'une série ou d'une bande-annonce. 

Pourtant nous ne sommes que les fruits de la surconsommation. Nous en voulons toujours plus. Tellement, qu'il n'est pas possible pour le commun des mortels en temps de crise économique, de pouvoir rassasier cette pulsion ! 
Mais nous en avons conscience, nous partageons donc sur la toile tout ce qui est susceptible d’intéresser autrui. Chacun paie sa tournée, c'est du P2P, 2.0... Enfin, peu importent les mot, ici progrès rime avec partage et non pas avec espionnage.

En tout cas c'est ce que pense Robin du net alias David Darts, responsable du département d'art de la NY University.
Il est l'inventeur de la Pirate Box, une petite boite à laquelle on se connecte via wifi pour échanger tout type de contenu (musique, film, ect.) sans pouvoir être tracé. L'utilisation est aussi simple que le principe. On se connecte à la Pirate Box et on peut uploader et/ou downloader le contenu de notre choix. Une messagerie instantanée est également mise à disposition pour que les utilisateurs puissent communiquer en toute discrétion.
C'est ainsi qu'en quelques secondes se crée une communauté d'échange de la taille de la porté du réseau wifi.

La Pirate Box n'est aujourd'hui qu'une esquisse de ce qui sera le chef d'oeuvre de la liberté d'échange. Facile à construire chez soi, de nombreux internautes s'en sont fabriquées et conçoivent déjà des améliorations (cf. http://korben.info/tuto-piratebox.html). 
D'ailleurs David Darts nous confirme que  "[Son] petit projet fait partie d'un vaste mouvement. Des tas de gens rêvent de créer une version alternative de l'Internet actuel, dont ils ne veulent plus, car il est devenu mercantile, centralisé et surveillé de partout."

Si Mégaupload c'est fait coffrer, la pirate box navigue sur un vent de liberté.

Keep in touch David !

Arno

Sources :

MEGAUPLOAD IS CLOSED!



En quelques chiffres, Megaupload c'était 50 000 000 de visites par jour et 180 millions d'abonnés à travers le monde. Le 19 janvier 2012, le département de la justice des Etats-Unis a décidé de fermer le site pour non respect des droits d'auteurs, blanchiment d'argent, tentatives de racket...
Outre les frasques de son créateur Kim Dotcom et les activités subjacentes qu'il orchestrait et dont nous n'avons pas encore tous les éléments, Cosmopolitech se penche sur un sujet beaucoup plus intéressant. En effet, on peut se demander si la fermeture du 100èm site le plus visité au monde ne restreint pas en parallèle les libertés des utilisateurs du web 2.0 ?

Pour rappel, le principe de base est la liberté de navigation et de partage. Un principe que la commissaire européenne chargée de la justice, Viviane Reding a rappelé : "La protection des créateurs de doit jamais être utilisé comme un prétexte face à la liberté de l'internet".
La fermeture d'un site de téléchargement et de partage pour non respect de la législation n'est pas une problématique nouvelle. Mais en revanche le durcissement de la loi traduite par une limitation des utilisateurs en constitue une. 
Notons alors la loi HADOPI 1 et 2 en Europe , ou encore le projet de loi aux Etats-Unis nommé SOPA (pour Stop Online Privacy Act) qui tentent de punir les sites mais aussi les utilisateurs pour téléchargement illégal ou non respect des droits d'auteurs. Ces lois vont-elles contre notre droit de principe ou s'inscrivent-elles dans la logique évolutive du multimédia?

On peut donc noter deux conséquences fondamentales à la fermeture du site Megaupload. D'une part la volonté pour les gouvernements de légiférer de manière plus stricte les droits et devoirs du web 2.0. Et dans le même temps, la revendication des communautés de hackers qui critiquent l'actualité en bloquant différents sites comme celui d'Universal Music ou encore celui d'HADOPI et en créant des sites de substitutions.

Ces réactions et réponses mettent en évidence les futures décisions que les Etats vont entreprendre sur l'avenir de l'internet... ce qui ne va surement pas plaire à tout le monde.

 Cheguerazade.
 Sources: - Le monde du samedi 21 janvier 2012

Le film de notre mémoire bientôt sur les écrans.






Projeter d'arrière en avant les images de notre imaginaire, de nos rêves, de nos souvenirs, avec notre seule pensée comme chef d'orchestre ; c'est la voie ouverte par une équipe de chercheurs de l'université de Berkeley dans une étude publiée par le journal Current Biology.

Cette équipe dirigée par le neurobiologiste Jack Gallant sont parvenus à enregistrer en vidéo des émotions humaines. Les images obtenues restent toutefois rudimentaires et le procédé utilisé permet simplement de reproduire notre "système visuel de base" composé de formes floues et de gros objets.

Jusqu'à présent, cette technique, qui combine l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et des modèles informatiques, peut seulement reconstruire des extraits de films que les volontaires de l'expérience ont déjà vus auparavant, et elle ouvre donc potentiellement la voie à une technologie capable de voir des images à l'intérieur de notre tête – comme des rêves ou le "film" de la mémoire.







"C'est une avancée majeure vers la reconstruction de l'imagerie interne", a déclaré le professeur Jack Gallant,

Les applications pratiques de cette technologie pourrait inclure une meilleure compréhension de ce qui se passe dans l'esprit des gens qui ne peuvent pas communiquer verbalement, comme les victimes d'AVC, les patients dans le coma et les personnes atteintes de maladies neurodégénératives.
Dans un second temps ce procédé pourrait ouvrir la voie à un nouveau medium de création artistique ou la représentation visuelle serait la plus parfaite traduction de nos sentiments et émotions.

Charles



jeudi 26 janvier 2012

Quand le téléphone devient clé d’hôtel


A notre époque et surtout aujourd’hui, les hommes et les entreprises n’arrêtent  plus le progrès,  surtout dans le domaine des nouvelles technologies.

« Etre le plus inventif et le plus productif possible est  l’objectif principal ».

C’est le nouveau credo de l’opérateur de télécoms fino-suédois TeliaSonera qui a inventé et mis en place depuis le 1er novembre une application qui permet de remplacer la clé d’un hôtel par son téléphone mobile.

Le téléphone (BlackBerry, Android ou iPhone)  doit intégrer la technologie NFC (Near Field Communication) qui permet l’échange de données à faible distance (10 cm) et est utilisée en particulier pour la lecture des cartes de transport sans contact. Pour ce faire les utilisateurs devront au préalable télécharger une application et s'enregistrer sur un site dédié.

Pratique ?

Sans aucun doute, car cette innovation va changer la vie de beaucoup de personnes.
Il n’y a plus besoin de faire la queue à la réception ou plus besoin de s’inquiéter quand on arrive trop tard à l’hôtel pour obtenir sa clé de chambre.  Il suffit d’avoir son téléphone mobile équipé de la nouvelle technologie sur soi afin d’effectuer l’ensemble des formalités (enregistrement, check-in, check-out, règlement de sa note, etc.) et même d’ouvrir la porte de la chambre !

Bien évidemment, tout ceci est conditionné par le fait de disposer d’un mobile suffisamment chargé, de ne pas l’avoir oublié sur la table de nuit… ou  de ne rien avoir à cacher sur ses horaires !