Près de quatre mois après son lancement, l’heure du premier
bilan est venue. Et dire qu’il n’est pas fameux, est un doux euphémisme.
Une étude a été réalisé par nos confrères de Capital.fr et
les résultats sont équivoques.
Entre 18h et 21h, c’est à dire durant les heures de pointes,
le taux d’échec des appels passés sur le réseau Free mobile atteint 46% à Paris
et à Lyon soit quasiment un sur deux. Alors que chez les trois opérateurs
historiques il n’est que de 1%.
En tant que « pigeon » j’aimerais demander à M.
Niel s'il vaut mieux payer cher pour un service qui marche ou payer 20 euros
par mois pour un service qui, lorsqu'on en a le plus besoin, ne marche qu’une
fois sur deux!!!
La question se pose.
Aux autres moments de la journée le taux d’échec est
d’environ 14% tandis que chez SFR, Bouygues et Orange il est de 1% encore une fois.
Free Mobile justifie ses
bugs aux heures de pointe « par la congestion des liens d’interconnexion
avec le réseau d’Orange, l’opérateur qu’il a choisi pour couvrir les zones où
il n’a pas encore implanté ses antennes. »
Le quatrième opérateur a
promis de corriger la donne d’ici le 11
avril.
D’après le diagnostique de Capital ce
sera compliqué car quand bien même les appels passent par le réseau propre de
Free le taux d’échec reste de 4%.
Voici le déroulement de l'étude en video :
RBA
Sources : Capital, lenouvelobs
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